Histoire

Véritable joyau d’architecture maroco-andalouse, le Palais Sebban vous accueille toute l’année, dans l’un des plus beaux riads au cœur de la Medina de Marrakech.

À seulement 15 minutes de l’Aéroport Marrakech Menara et à 5 minutes à pied de la célèbre place Jemaa El Fna, vous profiterez du confort de nos chambres luxueuses dans un cadre authentique.

Joyau architectural de Marrakech, le Palais Sebban porte le nom de l’ancien propriétaire des lieux: le caïd Sebban. Il a été entretenu pendant des siècles par sa famille. Après 4 ans de travaux et de réhabilitation, les chambres d’hôtes ont ouvert leurs portes et sont devenues un majestueux cocon de tranquillité et de bonheur depuis 2006.

Les différents espaces de l’hôtel sont un parcours historique et culturel entre confort et modernité. La culture Orientale est présente dans tous les bâtiments.

Une demeure fassie
au cœur de Marrakech

Décors sophistiqués et proportions généreuses, le palais Sebban a tout d’un petit « Bahia ». À l’origine, il ne s’agit pas d’un palais, mais d’un ensemble de maisons bourgeoises que possédait la famille Sebban au XVIIIème siècle .

Plus qu’une maison d’hôtes, il est devenu un lieu de mémoire où l’on peut admirer certaines des plus belles réalisations de l’art hispano-mauresque.

Situé à l’ouest de la médina de Marrakech, dans le quartier huppé dit des Ksour (palais), où se concentrent les plus anciennes demeures de la ville. On y retrouve les maisons des notables de la ville de Marrakech comme les chorfa Messaoudiyne, familles Ouriki, Ouarzazi, M’touggi…

Le cœur du riad a été bâti dans la seconde moitié du XIX siècle, pour être, selon le vœu de son propriétaire de l’époque (ministre des finances du Roi), la réplique parfaite d’une résidence Fassie. Les boiseries, les plafonds, les murs et les portes d’origine sont restés intacts. Le cèdre est à l’honneur et, comme dans toute maison bourgeoise, chacun y avait ses quartiers : les appartements des hommes, ceux des femmes et ceux des invités, « douiria », avec leur entrée indépendante, comme c’est la règle, pour que les hôtes ne pénètrent pas dans l’intimité du foyer, « harim ».